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A quoi sert la sophrologie ?

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Troubles du sommeil ? Stress lié au travail ? Problèmes de concentration ? Ces soucis du quotidien peuvent vite nous envahir sans que l'on parvienne à les canaliser. La sophrologie se révèle pourtant un moyen efficace de lutter contre ces désagréments de manière autonome.

Basée sur une méthode psycho-corporelle où l’écoute de son corps est primordiale, la sophrologie couvre de nombreux champs d’application.

1. Se détendre

« Vous êtes calmes, vous êtes détendus » ! C’est souvent une phrase que l’on entend prononcer par les sophrologues en début de séance. Le rôle de la détente revêt donc, dès le départ, toute son importance.

L’essence même de la sophrologie est d’écouter son corps et d’être pleinement conscient de son existence.

La technique consiste d’abord à se concentrer sur certaines parties de son corps pour ensuite réunir l’ensemble. Cela facilite l’harmonie entre le corps et l’esprit et procure la sensation d'apaisement.

2. Gérer le stress et canaliser ses émotions

La sophrologie se révèle un bon moyen également pour gérer son stress et ses contrariétés.

Alors que notre vie quotidienne est de plus en plus stressante et anxiogène, la sophrologie nous apprend à canaliser nos émotions et à mieux gérer progressivement les déconvenues ou les imprévus.

Des exercices simples de respiration nous apprennent à relâcher les tensions musculaires. Ce travail de « lâcher prise »permet de retrouver une maîtrise de soi sans se laisser envahir par les tracas extérieurs. 

3. Mieux dormir

La sophrologie peut accompagner les plus jeunes comme les plus âgés qui souffrent de troubles du sommeil ou d’insomnies primaires, c’est-à-dire celles qui n’ont pas de raisons médicales justifiées et qui sont donc directement liées au stress. Et elle se révèle très efficace.

En relâchant la tension subie dans la journée par le biais d’exercices de respiration abdominale et de visualisation, la détente prend le dessus et il ne nous reste plus qu’à fermer les yeux.

4. Se préparer à l’accouchement

En salle d’accouchement, difficile de retrouver son calme et de ne pas se laisser envahir par les douleurs que provoquent les contractions.

Le travail des sages-femmes formées à la sophrologie est donc d’accompagner les femmes enceintes à appréhender l’accouchement de manière sereine. Elles délivrent des techniques de respiration qui les aideront, le jour venu, jusqu’au moment de la délivrance.

Astuce : lorsque vous avez une contraction, ne cherchez pas à la bloquer mais accompagnez-la en soufflant le plus longtemps possible.

5. Améliorer sa concentration

Que ce soit pour un enfant, un adolescent ou un adulte, la concentration est difficile à tenir toute la journée.

La sophrologie donne des clés pour vider son esprit afin de focaliser son attention uniquement sur une seule tâche.

Pourquoi et quand encourager les collaborateurs à faire un bilan de compétences ?

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Effectué à l’initiative du salarié, le bilan de compétences peut se faire à n’importe quel moment d’une carrière, que celui-ci ait 5 ans d’expérience ou une vingtaine d’années d’expertise derrière lui. En tant que responsable RH, encourager les collaborateurs à faire un bilan de compétences peut être bénéfique, et ce, pour plusieurs raisons.

A quoi sert un bilan des compétences ?

Véritable processus d’introspection permettant de faire un point général sur sa carrière, ses compétences et ses motivations, le bilan de compétences sert avant tout à aider le salarié à effectuer des choix cruciaux quant à son avenir.

Sur-mesure et strictement confidentiel, il est avant tout personnel : si un salarié souhaite effectuer un bilan, il n’est pas obligé d’en informer le manager ou le patron. Autrement dit : pas de risque de perdre son job.

La plupart du temps, le bilan de compétences résulte d’un désir de changement. C’est pourquoi il s’adresse aussi bien aux salariés qu’aux demandeurs d’emploi en recherche d’une reconversion professionnelle ou d’un changement de poste.

Concrètement, le bilan a pour but de mettre en lumière les compétences et les connaissances de l’individu afin de l’aider à trouver une voie en accord avec ses motivations et ses aspirations.

Pourquoi encourager ses collaborateurs à faire un bilan de compétences ?

Les avantages du bilan de compétences sont avant tout sociaux. Encourager ses collaborateurs à procéder à un bilan de compétences, c’est chercher à s’assurer qu’ils se sentent épanouis et engagés auprès de l’entreprise.

Plutôt qu’attendre le bilan individuel de fin d’année, pourquoi ne pas proposer aux employés de réaliser un bilan de compétences afin de leur permettre de faire un point sur leur situation ?

En encourageant vos collaborateurs à s’interroger sur leur carrière et leur situation professionnelle, vous ne leur rendez pas seulement service à eux. Vous rendez aussi service à l’entreprise en :

  • obtenant une vision d’ensemble sur le ressenti des employés quant à leur situation au sein de l’établissement ;
  • prenant du recul face aux nécessités de changements, de créations de postes ou de réorganisation ;
  • proposant aux salariés de devenir des acteurs de leur carrière en les encourageant et en les supportant dans leurs idées et leurs envies ;
  • favorisant le bien-être au travail à travers cette démarche sociale.

En bref, le bilan de compétence constitue un outil de gestion de carrière clé pour les entreprises.

Quand les encourager à le faire ?

Le bilan de compétences se fait à l’initiative du salarié ou du demandeur d’emploi. Les Ressources Humaines ne peuvent obliger un collaborateur à l’effectuer.

Toutefois, il existe certains moments dans une carrière où les salariés seront plus à même de se lancer. Alors, quand encourager vos collaborateurs à effectuer un bilan de compétences ?

  • Arriver un certain âge (40 – 50 ans)
  • À la suite d’un événement majeur (naissance, burn-out, décès…)
  • En cas de restructuration de l’entreprise
  • Après plusieurs années de collaboration avec l’entreprise (difficile de garder le même job pendant 30 voire 40 ans !)


Dans quel cas est-il déconseillé d’effectuer un bilan de compétences ?

  • Le collaborateur est débordé sur le plan professionnel et/ou personnel ;
  • Le collaborateur est en période de burn-out ou ne semble pas à être à 100% de sa forme ;
  • Le collaborateur semble réticent à l’idée de faire un bilan.

Pour savoir si le moment est venu ou non de proposer  de réaliser le bilan, il est nécessaire d’échanger et d’entretenir une relation de proximité pour en savoir plus sur la situation de la personne avec qui vous échangez.

 

Vers quels organismes les orienter ?

Le bilan de compétences doit obligatoirement être réalisé par un prestataire extérieur à l’entreprise. Alors n'hésitez pas à faire appel à nous !

Quels sont les symptômes à prendre au sérieux ?

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 1- Des difficultés de concentration

Lorsqu’on souffre de stress chronique, il est difficile de mener à bien une activité ou un projet car le stress absorbe toute notre attention. Il donne lieu à des difficultés de concentration, un éparpillement de la pensée, responsables d’oublis et d’une certaine inefficacité dans les tâches entreprises, ce qui l’entretient.  

 

2 -  Une fatigue permanente

Le stress empêche de dormir et empêche une bonne récupération même quand on dort. Si vous dormez plus de 9h par nuit et que vous vous sentez toujours aussi fatigué malgré des examens de santé qui ne révèlent aucune maladie physique, c’est que vous souffrez probablement de stress chronique. 

3 - Des troubles de l’humeur

Être toujours énervé, irritable ou agacé par un rien n’est pas un trait de personnalité, mais révélateur d’un stress chronique.

 4 - Des troubles digestifs

Un stress latent, chronique ou aigu peut provoquer des problèmes digestifs 

5 - Des migraines

Le stress est souvent identifié comme facteur déclenchant de maux de tête, légers ou intenses, locaux ou diffus. Les migraines proviennent également lorsqu’il y a de la fatigue physique, un autre facteur de stress. Elles apparaissent brutalement et fréquemment. 

6 - Un manque d’appétit

Le stress a un effet coupe-faim à l’inverse, le stress peut provoquer de la boulimie, tout dépend de l’individu et de sa façon de réagir au stress. 

7 - Des douleurs inexpliquées

Le stress cause des douleurs musculaires diffuses qu’il est difficile de soigner car la cause n’est pas organique. 

8 - Des pertes de mémoire récurrentes

Le stress peut interférer avec le processus de mémorisation et causer des pertes de mémoire car le cerveau ne peut enregistrer correctement les informations. 

9 - Des vertiges

Les vertiges ne sont pas forcément graves. Ils peuvent certes révéler des maladies physiques mais sont aussi responsables d’un stress trop important ou répété. 

10 - Un désintérêt pour le présent

Happé(e) par le stress, il est impossible de profiter du moment présent et de profiter de la vie. Le stress, à long terme, provoque anxiété et dépression. Pour éviter d’en arriver là, il convient de consulter son médecin et d’essayer de réduire son stress par des remèdes naturels et des activités permettant le repos de l’esprit. 

L'illettrisme : quels sont les impacts en entreprise ?

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L’illettrisme désigne des personnes qui ont été scolarisées en France, mais qui ne maîtrisent pas ou plus les compétences de base nécessaires en lecture, écriture et calcul, pour être autonomes dans des situations simples de la vie quotidienne. Mais avant d’être une ignorance des savoirs de base, l’illettrisme est une source de souffrance invisible pour ces personnes et constitue d’abord une exclusion sociale forte.

7 % de la population adulte souffre d'illetrisme en France soit environ 2,5 millions de travailleurs généralement âgés de 18 à 65 ans ayant été scolarisée en France.

Qui sont-elles ? Sur ces 2 500 000 personnes en situation d’illettrisme :

  • La moitié a plus de 45 ans. Attention aux idées reçues qui limitent ce phénomène aux classes d’âge les plus jeunes alors que les difficultés augmentent avec l’âge.
  • Plus de la moitié exerce une activité professionnelle. La lutte contre l’illettrisme touche donc de très près le monde du travail, de l'entreprise.
  • 71 % d’entre elles parlaient uniquement le français à la maison à l’âge de 5 ans. Attention aux idées reçues qui assimilent illettrisme et immigration.


Pour s’intégrer professionnellement, les personnes en situation d’illettrisme sont contraintes de développer des compétences pour leur éviter d’avoir recours à l’écrit et à la lecture. Ces stratégies de contournement de l’écrit leur permettent, pour la plupart, d’assumer leur vie sociale et professionnelle au quotidien. Mais conséquence de cette intégration « cachée » de leurs lacunes, ces salariés demeurent fortement dépendants de la stabilité de l’environnement où elles ont construit leurs repères et se trouvent en situation de grande fragilité lorsque leur quotidien se transforme. Une situation grandement invalidante dans le monde du travail où il faut fréquemment s’adapter à des changements d’organisation, à de nouvelles consignes, à des imprévus, etc.

Quels impacts sur les entreprises ? D'un point de vu financier, le montant est évalué à environ 3 à 6 % de la masse salariale. La formation des salariés est le levier principal de la lutte contre l’illettrisme. Il s’agit désormais d’une obligation à la charge de l’employeur, alors n'hésitez pas à sauter le pas !  

 

Cependant il est important de souligner que les personnes souffrant d'illetrisme peuvent être des atouts pour nos entreprises. En effet, ils developpent des processus différents de travail et cela peut permettre d'améliorer les méthodes déjà existantes dans certains cas.

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