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L'illettrisme : quels sont les impacts en entreprise ?

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L’illettrisme désigne des personnes qui ont été scolarisées en France, mais qui ne maîtrisent pas ou plus les compétences de base nécessaires en lecture, écriture et calcul, pour être autonomes dans des situations simples de la vie quotidienne. Mais avant d’être une ignorance des savoirs de base, l’illettrisme est une source de souffrance invisible pour ces personnes et constitue d’abord une exclusion sociale forte.

7 % de la population adulte souffre d'illetrisme en France soit environ 2,5 millions de travailleurs généralement âgés de 18 à 65 ans ayant été scolarisée en France.

Qui sont-elles ? Sur ces 2 500 000 personnes en situation d’illettrisme :

  • La moitié a plus de 45 ans. Attention aux idées reçues qui limitent ce phénomène aux classes d’âge les plus jeunes alors que les difficultés augmentent avec l’âge.
  • Plus de la moitié exerce une activité professionnelle. La lutte contre l’illettrisme touche donc de très près le monde du travail, de l'entreprise.
  • 71 % d’entre elles parlaient uniquement le français à la maison à l’âge de 5 ans. Attention aux idées reçues qui assimilent illettrisme et immigration.


Pour s’intégrer professionnellement, les personnes en situation d’illettrisme sont contraintes de développer des compétences pour leur éviter d’avoir recours à l’écrit et à la lecture. Ces stratégies de contournement de l’écrit leur permettent, pour la plupart, d’assumer leur vie sociale et professionnelle au quotidien. Mais conséquence de cette intégration « cachée » de leurs lacunes, ces salariés demeurent fortement dépendants de la stabilité de l’environnement où elles ont construit leurs repères et se trouvent en situation de grande fragilité lorsque leur quotidien se transforme. Une situation grandement invalidante dans le monde du travail où il faut fréquemment s’adapter à des changements d’organisation, à de nouvelles consignes, à des imprévus, etc.

Quels impacts sur les entreprises ? D'un point de vu financier, le montant est évalué à environ 3 à 6 % de la masse salariale. La formation des salariés est le levier principal de la lutte contre l’illettrisme. Il s’agit désormais d’une obligation à la charge de l’employeur, alors n'hésitez pas à sauter le pas !  

 

Cependant il est important de souligner que les personnes souffrant d'illetrisme peuvent être des atouts pour nos entreprises. En effet, ils developpent des processus différents de travail et cela peut permettre d'améliorer les méthodes déjà existantes dans certains cas.

Pourquoi toujours vouloir aider les autres ?

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Sauver les autres à défaut de pouvoir se sauver soi-même. Tel est le mantra de ceux qui ressentent le besoin quasi-épidermique de régler les soucis des autres avant les leurs, quitte à s’oublier et à se donner corps et âme à ceux qui les entourent.

Qu’est-ce que le syndrome du sauveur ?

Le syndrome du sauveur, ou ce sacrifice permanent au bénéfice des autres, force parfois l’admiration de l’entourage. Cependant, même si le « sauveur » a des capacités altruistes, ce syndrome démontre le besoin de recevoir une gratitude permanente pour exister. On parle de syndrome du sauveur lorsque ce besoin d’aider l’autre conditionne la relation. Non répertorié comme une pathologie, le syndrome du sauveur peut se manifester à différentes échelles, allant de l’altruiste qui aidera de manière temporaire, au pervers qui recherchera un plaisir inconscient à soumettre l’autre en étant aidé.

Quels différents types de « sauveur » existe-t-il ? Certains psychologues américains ont dressé une typologie des sauveurs :

  • le sauveur abîmé : il a besoin d’être aimé et admiré, reconnu, pour compenser son image de lui-même et réparer les blessures passées ;
  • le sauveur empathique : souvent vécu en couple, ce sauveur veut à tout prix diminuer la distance qui existe avec son conjoint, et éviter qu’il ne réussisse de trop, ayant peur d’être abandonné ou qu’on n’ait plus besoin de lui ;
  • le sauveur terrorisant : il cherche le contrôle physique sur la personne qui partage sa vie, souvent sexuellement et émotionnellement (jalousie extrême), ayant une peur non dite de l’abandon.

 Comment guérir du syndrome du sauveur ?  Pour se sortir de ce cercle vicieux, le sauveur doit prendre conscience de son trouble et de son origine probable.

  • Une remise en question est nécessaire pour comprendre que cette aide n’est pas seulement liée à une empathie et à une générosité
  • Il convient de se faire aider d’un psychologue, afin de remonter aux attachements réalisés durant l’enfance
Comment sortir de ta zone de confort ? Nos conseils !

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L'heure de la rentrée à sonée !! Le moment des bonnes résolutions est arrivé... Pourquoi pas sortir de sa zone de confort ?

Pour pouvoir sortir de sa zone de confort, il faut d’abord pouvoir la délimiter ! Une liste est l'outil parfait pour cerner ce qui nous paraît  “confortable” et “inconfortable”, elle peut permettre de mettre en place des objectifs pour sortir progressivement de sa zone de confort. 

 

Conseil n°1 : Prendre conscience de ses peurs

S’il est difficile de sortir de sa zone de confort, c’est parce que la peur est présente. Identifiez quelle est votre peur pour chaque chose que vous souhaiteriez réaliser mais pour lesquelles vous êtes empêché.

Conseil n°2 : Pratiquer une nouvelle activité physique

Expérimenter de nouvelles sensations permet de changer sa perception et d’élargir sa zone de confort. Cela favorise la prise de confiance en soi. Selon votre personnalité vous pouvez essayer de simples sports ou des sports de sensation. 

Conseil n°3 : Bien vivre l’échec

Rester dans sa zone de confort traduit en réalité une grande peur de l’échec. Or, il faut réussir à considérer l'échec comme quelque chose de positif, une leçon de vie et la peur de s'y confronter ne sera qu'un lointain souvenir et nous vous paralysera plus
 
Conseil n°4 : Viser des objectifs atteignables

Comment réussir sa rentrée ?

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La rentrée est toujours synonyme de fin des vacances et de reprise du travail, comme si l'on quittait de belles périodes de lumière et de soleil pour s'enfoncer vers l'hiver. Cette période s’accompagne très souvent d’un "coup de blues". Ce phénomène porte même un nom : le « back-to-work blues », mais son impact doit être relativisé. Pour cela, quelques petits conseils :

 

  • Gérer son planning : il est plus efficace de hiérarchiser les tâches prioritaires et de les traiter dans l’ordre.

 

  • Conserver le maximum de bonnes habitudes prises durant les vacances : Le sport, les sorties ou les bonnes résolutions en matière d’alimentation sont des habitudes qui peuvent très bien être poursuivies après le retour des vacances.

 

  • Accordez-vous du temps libre : s’aménager et s’imposer des plages de détente permet d’adoucir les angles de cette période parfois difficile. Reprendre le travail après les vacances ne doit pas être synonyme de privations et de frustrations.

 

  • Profitez de cette reprise de travail pour faire un tour d’horizon de votre situation professionnelle :  Cette petite introspection vous fera le plus grand bien et vous permettra de repartir sur des bases plus saines pour la nouvelle année.
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